Test rapide pour maladies infectieuses SC-2368-25

pour anticorpsvariole du singesérum

SCREEN TEST VAIOLO DELLE SCIMMIE Test rapide pour la détection qualitative des anticorps dirigés contre le virus de la variole du singe dans le sang total, le sérum ou le plasma humains. Réservé à un usage professionnel de diagnostic in vitro. Le test rapide de détection des anticorps du virus de la variole du singe est un immunodosage chromatographique à flux latéral pour la détection qualitative des anticorps du virus de la variole du singe dans le sang total, le sérum ou le plasma afin d'aider au diagnostic de l'infection par le virus de la variole du singe. Le virus de la variole du singe est un orthopoxvirus zoonotique qui provoque accidentellement chez l'homme une maladie similaire à la variole, mais avec un taux de mortalité nettement inférieur. Ce virus est cliniquement pertinent parce qu'il est endémique en Afrique occidentale et centrale, avec des flambées dans l'hémisphère occidental liées au commerce d'animaux exotiques et aux voyages internationaux. La transmission peut se faire par contact avec les fluides corporels, les lésions cutanées ou les gouttelettes respiratoires d'animaux infectés, directement ou indirectement par l'intermédiaire de fomites contaminées. Bien que la transmission interhumaine ait été limitée jusqu'à présent, la modélisation mathématique dans le contexte de la diminution de l'immunité collective contre les orthopoxvirus reflète une menace croissante de propagation de la maladie entre les humains. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) recommandent l'isolement dans une pièce à pression négative et des précautions standard, de contact et contre les gouttelettes dans le cadre des soins de santé, avec une escalade vers des précautions aériennes si possible. Après une entrée virale par n'importe quelle voie (oropharynx, nasopharynx ou intradermique), le virus de la variole du singe se réplique au site d'inoculation puis se propage aux ganglions lymphatiques locaux. Ensuite, une virémie initiale conduit à la propagation du virus et à l'ensemencement d'autres organes.