Système de résonance plasmonique de surface pour les sciences de la vie OpenPlex

Conçu pour répondre aux exigences des biologistes, des biochimistes et des biophysiciens, l'OpenPlex est un système flexible d'imagerie par résonance plasmonique de surface. L'OpenPlex est votre compagnon pour le développement de bio-essais sans étiquette et multiplexés et pour la détection de molécules. Il s'agit d'un système robuste et compact conçu pour une utilisation simple et une grande polyvalence. Son format ouvert, ses puces de détection dédiées et son fonctionnement manuel permettent d'explorer de nombreux types d'expériences sans compromis, couvrant la chimie, la biochimie, la physico-chimie et les interactions biomoléculaires. Ouvrez vos champs de recherche avec OpenPlex ! Choisissez entre trois configurations différentes de cellules d'écoulement sans concession : Cellule d'écoulement normale pour les expériences standard d'imagerie par résonance plasmonique de surface Cellule d'écoulement à fenêtre, compatible avec les mesures de fluorescence Cellule à cuvette, compatible avec les mesures électrochimiques Système manuel et flexible d'imagerie par résonance plasmonique de surface pour : L'analyse des interactions sans étiquette Suivi en temps réel des courbes cinétiques Détermination des paramètres d'affinité et de cinétique Imagerie multiplexée (jusqu'à 400 spots) NOUVEAU : Contrôle de la température : 15 - 40 °C SPÉCIFICATIONS Volume de l'échantillon : typiquement 200 μL Concentration de l'échantillon : 300 ng/mL (100-1000 kDa) à 10 μg/mL (4-20 kDa) Poids moléculaire de l'échantillon : > 240 Da Limite de détection : 5 pg/mm2 APPLICATIONS L'utilisation de molécules de faible poids moléculaire dans les secteurs de la découverte de médicaments et de l'agroalimentaire est devenue de plus en plus importante au cours d'un siècle de recherche sur les médicaments et de développement scientifique en agriculture et dans le domaine pharmaceutique. La majorité des protéines sont glycosylées : elles possèdent des chaînes d'oligosaccharides et sont donc appelées glycoprotéines.